Mais, à cette heur suprême
Nos visage encore tournés vers le bonheur,
Attardés dans le soir, dans l'adieu, dans les pleurs.
Attardés en nous même;
Nous voulions, malgré que tout espoir fût vain,
Revivrece beau jour, et seuls le soir atteint,
Seuls, nous en savions nous détacher des choses,
Al'heure oû^les parfums se détachaient des roses
Et la lumiere de notre seuil.